Résumé détaillé[]
Le peuple Tropiquien était divisé en 4 factions : les religieux, les militaristes, les capitalistes et les communistes. Les communistes soutenaient totalement El Presidente mais pas les autres factions. Les militaristes ont par exemple fait une grande manifestation devant le Palais, sous l'impulsion des Etats-Unis. Les américains avaient oublié de leur donner des revendications claires, ils se sont donc contenter de demander un nouveau poste de police, ce qui a été accepté.
El Presidente et les communistes installèrent trois points de contrôle dans les rues pour inspecter les véhicules des citoyens. Ces contrôles et le comissariat ont suffit pour que les Etats-Unis accusent Tropico d'être un état policier.
En juillet 1920, El Presidente fit construire une conserverie, le premier bâtiment de l'île utilisant de l'électricité, pour mettre à profit la centrale électrique (qui ne servaient à rien jusque là). Cette conserverie permit aux tropiquiens "d'exporter la révolution" (vendre des ananas avec la photo d'El Presidente dessus). De cette époque ne reste aujourd'hui qu'une célèbre marque de jus de fruit appartenant à l'Etat tropiquiens.
Le service de contrôle de l'île permit de découvrir que la cheffe des capitalistes était Betana Perez, une simple fermière de 48 ans sans éducation (ce qui explique le peu d'influence de cette faction sur l'île, El Presidente l'a soudoyée pour 2000 $) ou que Brunilda Santiago, une bonne sœur, dirigeait un empire du crime (étant une grande amie d'El Presidente, il ne tenta jamais rien contre elle.
Les années 20 étaient l'âge d'or de Tropico, ses caisses étaient souvent pleine grâce à son industrie, les manifestations étaient calmées par l'argent, les capitalistes et les militaristes se tenaient en place. El Presidente n'eu même pas besoin de faire de campagne pour gagner les élections de 1925.
Ce qu'il ne savait pas, c'est qu'il jouait en mode difficile, sur le plan économique et politique, et que la suite allait se compliquer.
Citations[]
“ | Hey franchement camarade, ça va ou bien ? Je vous entends pas dans le fond, ça va ?
Le socialisme, ça déchire ou ça déchire pas ? Ah, sinon, oui, faudra voter pour moi, hein. Parce que sinon ça ira ... moins bien. On fait comme ça ? |
” |
— El Presidente, discours de campagne des élections, 1926
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Personnages[]
- le formateur de la CIA
- El Presidente/Antonio Garavo
- Evita Vasquez (dans le jeu)
- Betana Perez (dans le jeu)
- Brunilda Santiago (dans le jeu et en image d'archive)
- Penultimo (dans le jeu)