Résumé détaillé[]
Avant le briefing, le formateur dit à ses recrus qu'il a reçut une carte postale de Mikaël, disant qu'il fait du waterboarding (un sport aquatique) à Guantánamo.
En juin 1943 (un an avant le débarquement de Normandie), les troupes américaines débarquèrent à Tropico afin de libérer ses habitants d'El Presidente, le dictateur despotique autoritaire et autocrate. Ils ne savaient pas encore très bien comment faire un débarquement : ils n'ont pas bombarder avant, ils n'avaient pas de barges de débarquements mais des canots pneumatiques. L'opération fut un échec.
Après cette bataille, El Presidente, très fâché avec les Etats-Unis, commença à entretenir des relations avec l'URSS. En mai 1946, il invita un ambassadeur Soviétique pour établir une ambassade à Tropico. L’ambassadeur en profita pour renommer la Place des bananiers (la place du Palais) en Place Staline. Pendant quelques années les Etats-Unis n'ont plus eu de contacts avec Tropico (à part de temps en temps, lorsqu'ils attrapaient un espion tropiquien). L'URSS leur envoyait de l'argent à Tropico pour les aider à se développer et Tropico leur envoyait du fromage.
En 1948, les relations entre Tropico et les Etats-Unis étaient très tendue. En novembre, Tropico s'ouvrit au tourisme mais les citoyens américains qui allaient visiter l'île perdaient leur travail et étaient interrogés pendant 48 heures à leur retour aux Etats-Unis.
Dans le même temps, les rebelles s'étaient renforcés, Tropico était au bord du coup d'Etat. Sur les conseils d'Evita Vasquez, El Presidente se rendit à Moscou pour faire du team building et voir comment les soviétiques s'occupaient des rebelles. Une fois rentré, en avril 1949, il mit en chantier une prison surdimensionnée avec un département de rééducation politique et un centre de travaux forcés qu'il nomma la Prison Albert Camus (malgré l'opposition de l'Ambassadeur Soviétique qui voulait la nommer Prison Staline).
En réponse aux relations de Tropico avec l'URSS, les Etats-Unis envoyèrent leurs navires de guerres faire une virée dans la Baie de Tropico (pour leur rappeler que c'était eux leurs voisins). En réponse, El Presidente officialisa son alliance avec les soviétiques, qui les avaient prévenus que la CIA allait bientôt attaquer.
En effet, la CIA avait regroupé des Anti-Garavo éxilés en Floride pour les former, les armer et les encadrer par quelques un de leurs agents avant de les faire débarquer à Tropico en janvier 1950 pour prendre le Palais et renverser El Presidente. L'opération fut un nouvel échec, probablement à cause du manque d'organisations (on a vue des rebelles courir après des char tropiquiens). Tout les agresseurs furent tuer à l'exception d'un prisonnier, John J. Margoulin, enfermé à la Prison Albert Camus, où il fut bien traité par El Presidente (du fait de la Convention de Genève de 1949).
Citations[]
| “ | Le canot pneumatique, c'est pratique pour plein de situations mais pas pour organiser un débarquement quand les mecs d'en face ont des fusils. | ” |
— le formateur de la CIA
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Personnages[]
- le formateur de la CIA
- Mikaël (mentionné)
- El Presidente
- Soldats tropiquiens (hors champ)
- l'Ambassadeur Soviétique Piotr Sevrinov
- Penultimo (dans le jeu)
- Evita Vasquez (dans le jeu)
- Lord Oaksworth (dans le jeu)
- John J. Margoulin