Résumé détaillé[]
Une semaine après interpellation de John J. Margoulin, l'agent spécial de la CIA Marty Mac Carthy, communique par message à une personne inconue qu'il avait été en contact avec El Presidente depuis des décennies et qu'il avait pu se faire laver le cerveau pendant qu'il était retenu prisonnier à Tropico. Il aurait pu livrer des informations de la CIA à El Presidente ce qui expliquerait pourquoi il tient toujours face aux Etats-Unis. Il conclut en disant que la personne le connait mieux et lui demande si elle veut boire un verre avec lui, en précisant qu'il est nouveau sur Tinder.
Au même moment, à Tropico, El Presidente donne une interview avec pour sujet : "Espace et politique économique, développement industriel et déploiements stratégiques des années 60 à nos jours sur l'île de Tropico, la perle des caraïbes. Alors qu'il fait un résumé rapide des années 50 (rebelles, débarquements américains, espionnages...), il reçoit un appelle lui demandant de changer de formule d'abonnement à la compagnie électrique de Tropico. Il s'excuse auprès du journaliste en disant qu'il attend un appel important et lui propose un smoothie. Il lui demande son nom, Rafael Gomez.
En 1959, El Presidente annule le programme de recherche sur la bombe atomique (officiellement repoussé) et abroge le tri obligatoire des déchets parce que ça ennuie tout le monde et que ça prend un temps fou, les tropiquiens mettaient donc tout lurs déchets dans la même poubelle, même l'uranium. A l'époque, Tropico avait beaucoup d'uranium pour faire tourner la centrale nucléaire. Il montre au journaliste une photo de l'île à l'époque. Rafael rétorque que sur les photos plus anciennes de l'île, elle n'était pas du tout comme ça, ce à quoi El Presidente répond que c'est parce que les appareils photos étaient différents, que le Gomez qu'il connaissait n'aurait jamais posés de questions pareils mais qu'il y a eu des tremblements de terre qui ont pu modifié la forme de l'île
En 1960, Tropico a commencée à se lancer dans la piraterie et à produire du plastique (c'est là qu'on a inventé le dauphin-coco). A cette époque, Tropico construisait de nombreuses usines, El Presidente était donc très critiquer par les écologistes (qu'il qualifiait de "tout sauf des bobos"). Grâce à l'argent de l'industrie, El Presidente put organiser une "réunion de dingue" à l'Ambassade avec les américains et les russes. Après cela, les Etats-Unis n'ont plus attaqué Tropico pendant des années, c'est pour cela que Tropico ne relança pas son projet de bombe atomique.
En 1964, Tropico construisit son premier cinéma et diffusa plusieurs classique comme Docteur Folamour, Pour une poignée de dollars ou Soy Cuba (diffusé tout les soirs pendant 2 ans). Rafael demande si ces films sont sur Netflix, ce à quoi El Presidente répond que pour regarder les Avengeros il y a du monde mais que pour les classiques il n y a plus personne. Il se demande d’ailleurs comment vont faire les scénaristes pour faire revenir des personnages partis en poussière alors qu'il galérait à faire revenir un personnage important de sa saga de roman (bientôt adapté) qu'il avait mit en prison.
Pendant ce temps, dans la base de la CIA de Miami, l'agent Mac Carthy réveille John J. Margoulin, ligoté à une chaise et enfermé dans le noir depuis une semaine. Il lui demande comment Tropico à eu la bombe. Margoulin répond qu'il n'en sait rien car il n'a plus de contact avec Tropico depuis qu'il a quitté l'île en 1958. Mac Carthy lui dit qu'il reveindra lui poser la même question dans quelques jours (en laissant la lumière allumée en permanence).
Citations[]
“ | Ces histoires de bombes, ça stresse tout le monde et ça coupe un pognon de dingue. Je suis officiellement à la tête d'un état en faillite !
Mais pourquoi vous applaudissez là ?! Il marche le micro, là ? 1,2. C'est pas bien d'être en faillite. C'est mal ! Alors certains me demandent de vous faire travailler plus. De supprimer des jours fériés comme, par exemple, la fête de l'uranium. A ceux là je dis "Vous n'avez pas de cœur." Ils n'ont sans doute jamais vu la joie dans le yeux des enfants qui cherchent dans leur jardins à l'aube les petits bouts brillants que Papa Atome est venu cacher pendant la nuit. C'est une fête extraordinaire ! Et peu importe ce que dit l'Organisation Mondiale de la Santé ! |
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— El Presidente, discours sur l'arrêt du projet de bombe atomique, 1959
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“ | Et c'est pour ça qu'on a pas relancer le plan de la bombe. Parce que la bombe : c'est de la dissuasion. Mais si y a personne à dissuader parce que tout le monde il a bien mangé. Et ben, y a pas besoin de bombe ! | ” |
— El Ppresidente
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Personnages[]
- Marty Mac Carthy
- El Presidente
- Rafael Gomez (hors champ)
- journaliste (hors champ)
- Penultimo (dans le jeu)
- John J. Margoulin