Résumé détaillé[]
Base de la CIA à Miami, l'agent spécial Marty Mac Carthy intérroge John J. Margoulin. Il lui demande de faire coucou à la caméra et de lire un papier sur lequel est écrit une sponso Nord VPN. Mac Carthy explique qu'ils font des best-of des interrogatoires pour Youtube (en non répertorié, ils font tournés ça dans la boîte, le dernier a fait 100 000 vues) pour gagner de l'argent.
Pendant ce temps, au Palais de Tropico, donne une nouvelle interview à l'étudiant Rafael Gomez Jr où il dit qu'il a dit aux écologistes que la pollution était une invention des gringos pour empêcher Tropico d'avoir sa propre industrie, il n'en était pas sur mais il préférait prendre ses précautions pour emmerder les américains. Sauf qu'en 1966, il n'a pas put mettre sa plantation de caoutchouc à côté de l'usine de voiture à cause de la pollution du sol. C'est à ce moment qu'il a appris le mot "nappe phréatique", il n'avait pas fait la fac et a du tout apprendre tout seul car "C'est pas Sorcier" n’existait même pas, il a du l'inventer lui même. Pour éviter l'influence américaine, Tropico s'est mis a diffuser uniquement des films communistes et éducatifs produits sur l'île.
Mac Carthy est surpris qu'El Presidente sois au courant du plan de la CIA d'influencer la jeunesse grâce au cinéma d'Hollywood, il accuse Margoulin de l'avoir prévenu. De toute façon le cinéma tropiquien était tellement nul que des gens ont finit par mettre le feu au cinéma à cause des séances obligatoires. D'après El Presidente, ce sont les américains qui ont brulés le cinéma à cause de la qualité de ses films.
En 1967, la CIA a fait assassiner Che Gevara en Bolivie. Mac Carthy demande pourquoi il n y a pas eu de réactions diplomatique de Tropico. Margoulin répond qu'El Presidente ne l'aimait pas trop (parce qu'il a mit ses bottes dégueulasses sur la table basse lorsqu'il est venu au Palais). En 1968, avec la Guerre du Viêt Nam et le mouvement du 2 mai, des jeunes du monde entier se sont mis à faire des drapeaux et des t-shirts avec son portrait dessus à la grande incompréhension d'El Presidente qui ne comprenait pas ce qu'il avait de plus que lui (alors qu'il faisait des routes bien droites au nom du socialisme).
En 1971, Tropico a enfin eu son indépendance automobile avec la finalisation de l'usine automobile de Tropico qui produisait des voitures pour rouler sur les routes bien droites d'El Presidente, il n'y eu même pas de chansons sur lui, il a été obligé de les faire lui même (les bandes ont brûlées dans l'incendie de la radio).
Dans les années 70, le mouvement hippie n'a jamais atteint Tropico mais El Presidente fumait ce qui le rendait plus créatif. En 1973, près d'un an avant l'élection présidentielle, il a commencé la construction d'une station de télévision et pour que tout le monde la reçoive il a commencé à mettre en place l'électricité dans les immeubles. Comme son opposant, Monsieur Morales, était venu au débat sans caméra ni micro, personne ne pouvait l'entendre.
Même si on le voyait beaucoup plus à la télévision, il n'a jamais truqué les élections de sa vie.
MacCarthy revient au sujet de la bombe atomique, Margoulin lui répond que Tropico a eu l'a eu dans les années 80. Marty lui dit qu'il a un rendez-vous important et qu'il doit partir malgré les protestations de Margoulin.
Citations[]
“ | J'ai toujours penser qu'on pouvait être de gauche et quand même se laver les cheveux. | ” |
— El Presidente (en parlant des hippies)
|
“ | Alors, le bouchon pour boucher le volcan, on a tout laisser tombé. Apparemment le caoutchouc ça brûle bien et ça fait plein de fumé. Vous savez ce qui brûle pas ? L'eau ! Çà tombe bien on en a plein, alors on va remplir le cratère d'eau pour l'éteindre ! Tout simplement !
Il parait que c'est comme ça qu'ils ont fait en France, je l'ai lu sur les étiquettes de Volvic. Si ils ont pu éteindre un volcan, on peut le faire aussi. On est pas plus con que les français et on va pas rester avec un volcan allumé. |
” |
— El Presidente, discours sur "Comment éteindre le volcan ?", 1971
|
Personnages[]
- Marty Mac Carthy
- John J. Margoulin
- El Presidente
- Rafael Gomez Jr (hors champ)
- Penultimo (dans le jeu)